Les crimes ont de multiples causes : la maladie mentale, le besoin d’argent, la vengeance, la réponse à une souffrance physique ou psychique.
Les délits sont souvent en relation avec l’argent, la jalousie avec une intensité moindre.
Les crimes et les délits les plus graves pour le psychisme des victimes sont fondés sur le fait de manipulateurs pervers.
Le crime fondé sur la manipulation perverse, c’est par exemple un corbeau qui harcèle ses victimes, assassine leur fils, et insinue dans l’ombre que la mère est coupable.
Le délit fondé sur la manipulation perverse, c’est une salariée qui attaque son patron aux prud’hommes en l’accusant de harcèlement moral pour détruire son honneur, l’affaiblir psychiquement, le ruiner, parfois l’inciter au suicide.
L’impuissance de la justice face au crimes des manipulateurs pervers
Le manipulateur pervers anticipe parfaitement le fonctionnement de la justice. Il dispose d’un alibi en béton, utilise des comparses pour tuer un proche de sa victime, ou commettre un délit. Le manipulateur pervers détourne l'attention des enquêteurs vers des boucs émissaires. Grâce à l’ADN, il peut désormais orienter les enquêteurs vers sa victime en laissant sur la scène de crime un objet ou des cheveux lui appartenant.
Au tribunal civil, aux prud’hommes, des juges expérimentés se sont font manipuler comme des enfants parce qu’ils n’ont pas le temps d’entrer dans les dossiers.
Des médecins, des experts judiciaires, des gendarmes, des policiers ne détectent presque jamais les manipulations parce qu’ils n’ont pas été formés aux crimes de pervers manipulateurs et qu’ils n’envisagent pas une manipulation.
La manipulation ses juges s’appuie sur les préjugés, la preuve sociale, la théorie de l’engagement. Chacun sait que les patrons sont tous des voyous, que les hommes battent leurs femmes ou sont des pédophiles en puissance. Les tribunaux de prud’hommes sont les plus vulnérables aux pervers narcissiques, les tribunaux civils suivent avec les divorces. Les tribunaux surchargés sont des proies faciles, car les juges ne disposent pas du temps d’entrer dans les dossiers.
Les manipulateurs préfèrent perdre la vie que de perdre la face. Le pire qui puisse leur arriver est que leur crime soit révélé, c’est pour cela qu’ils n’avouent jamais et gardent le silence face au juge.
Notre force, notre ambition
Un auditeur oriente le juge en formulant des hypothèses, mais il ne peut pas se substituer à lui.
Un auditeur travaille dans l’ombre, il n’est pas soumis à la pression hiérarchique, politique ou médiatique.
L’auditeur considère que la justice est imparfaite et doit être améliorée. Il se positionne au niveau de la morale et pas seulement du droit.
Un auditeur ne porte pas d’accusation, il se contente de détecter et de préciser des non-conformités, de mettre à jour des axes de prévalence de culpabilité ou d’innocence.
La profession d’auditeur judiciaire n’existe pas. Il appartiendra à la justice et aux pouvoirs publics de juger de l’intérêt et de l’avenir de notre démarche en fonction de son apport.
L’aide aux victimes
Face à un délit ou à un crime relevant d’une manipulation perverse, la justice se trouve souvent en échec. Les victimes réclament la condamnation des coupables, puis de guerre lasse, au moins la vérité, pour faire leur deuil et se reconstruire.
Notre organisation, Audicrim, a construit une démarche d’audit pour aider les enquêteurs, puis les victimes au-delà de la prescription. Cette démarche est active même dans les délits et les crimes les plus pervers, quand leurs auteurs se retranchent derrière le secret médical pour porter leurs coups sans risque.
Un auditeur est un juge d’instruction sans pouvoir d’investigation. Il compense cette faiblesse en prenant de l’altitude et en observant le délit ou le crime sous un œil différent. Nous éliminons les fausses pistes et en proposons de nouvelles qui ont été négligées.
L’amélioration de la justice
Nous analysons les processus pervers et les décisions judiciaires qui y ont succombé. Nous mettons en exergues les non-conformités et les classons par degré de dangerosité pour les victimes et la société.